« Que si vous désirez porter un jugement de valeur, je vous dirais qu’il n’y a qu’un criterium absolu : les personnages vivent-ils? J’entends : entrent-ils dans votre paysage intérieur comme des êtres que vous avez connus, que vous connaissez? Parlerez-vous d’eux comme vous parlez de vrais vivants? Vous souviendrez-vous d’eux comme vous vous souvenez de vrais vivants? (…) Le roman qu’on oublie « un an après » (l’avoir lu) était un mauvais roman. »
Charles Plisnier